La arquitectura de las salas de cine en Francia durante los años 1930: asimilación y experimentación en torno al concepto de modernidad

Au début des années 1920, l’architecture cinématographique en est encore à ses balbutiements. Si une poignée d’architectes (Henri Sauvage, Marcel Oudin, E. Vergnes, Charles Siclis, Auguste Bluysen) et d’exploitants aspire à la naissance d’une architecture spécifique, adaptée à la projection et affra...

Full description

Autores:
Tipo de recurso:
article
Fecha de publicación:
2018
Institución:
Pontificia Universidad Javeriana
Repositorio:
Repositorio Universidad Javeriana
Idioma:
fra
OAI Identifier:
oai:repository.javeriana.edu.co:10554/37569
Acceso en línea:
http://revistas.javeriana.edu.co/index.php/revApuntesArq/article/view/23481
http://hdl.handle.net/10554/37569
Palabra clave:
Rights
openAccess
License
Derechos de autor 2018 Eléonore Marantz
Description
Summary:Au début des années 1920, l’architecture cinématographique en est encore à ses balbutiements. Si une poignée d’architectes (Henri Sauvage, Marcel Oudin, E. Vergnes, Charles Siclis, Auguste Bluysen) et d’exploitants aspire à la naissance d’une architecture spécifique, adaptée à la projection et affranchie de toute filiation avec l’héritage théâ­tral, l’éclectisme des solutions mises en oeuvre – parfois même leur archaïsme – témoigne de l’effervescence de ces années de recherche. En France, il faut attendre le lancement commercial des films sonorisés, puis leur généra­lisation au cours des années 1930, pour que le cinéma connaisse une seconde naissance. Les directeurs de salles deviennent les maîtres d’ouvrage d’un important chantier de sonorisation et de modernisation des lieux de projection. Saisissant cette opportunité pour inventer une architecture qui satisfasse pleinement aux exigences du spectacle et de l’exploitation cinématographiques, les architectes captent et mettent à l’épreuve le concept même de modernité.